The six million dollar man

Ce compositing The Six Million Dollar Man ou L'homme qui valait trois milliards met en scène l’homme bionique versus Maskatron. Trois objectifs ont conditionné cette création :

• Créer un poster, une affiche de cinéma en restant fidèle aux personnages de la série TV.
• Créer un lien direct avec le merchandising de l’époque, les célèbres figurines Kenner/Meccano.
• Moderniser l’univers tout en restant vintage.

Ce compositing a exigé plus de 115 heures de travail…

De nombreuses techniques sont utilisées dans ce photo montage sous Adobe Photoshop :

- Illustration numérique (aérographe et pinceaux)

- Application de textures + 3D

- Illustration numérique (Adobe Photoshop ® et Illustrator ®)

- Torsion et déformation d’image

- Incrustation et détourage complexes

- Correction chromatique

- Optimisation des pixels afin d’obtenir un visuel HD.

Les collectionneurs de produits dérivés Meccano/Kenner retrouveront l’univers des jouets commercialisés dans les années 1970-1980, dont Maskatron avec sa pince et son torse révélant un ordinateur. Le bras bionique de Steve Austin montre une membrane protectrice transparente et souple, dans l’esprit des bras ou jambes robotisés optionnels proposés par Kenner. La peau synthétique du bras et sa position respectent bien le packaging de la figurine de L’homme qui valait trois milliards avec sa fameuse main agrippante (bionic grip).

Les fans ne manqueront pas de remarquer certains détails et clins d’œil : le vêtement de couleur rouge, le logo sur la poitrine, la poutre orange, les ventouses du radar évoquant le bras mécanique du jouet Maskatron, les masques dans la mallette, le scintillement sur la pupille gauche, sans oublier l'électrocardiogramme dans le titre "Ultimate Bionic Mission", la posture du bras gauche spécifique au jeu de l’acteur Lee Majors dans la série… L'accroche de l'affiche, "Day of the Reboot", fait référence à l'un des épisodes de la série culte, "Day of the Robot".

Le visuel a été travaillé à la façon d’une illustration, comme l’étaient la plupart des affiches des années 80. Aérographe et pinceaux apportent une touche vintage, tandis que le titre rappelle celui de « Mission Impossible III ». Ce compositing a exigé plus de 115 heures de travail…